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Donald Trump accusé de vouloir politiser un Pentagone lui-même accusé d'avoir militarisé à l'excès la police américaine
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Donald Trump accusé de vouloir politiser un Pentagone lui-même accusé d'avoir militarisé à l'excès la police américaine
Le Pentagone est accusé d'avoir participé ces dernières années à la militarisation des services de police américains en leur fournissant gratuitement ses surplus de véhicules blindés et d'armes de guerre, grâce à un programme controversé que l'opposition démocrate veut désormais limiter.
Les images de policiers en tenue de combat et armés de fusils d'assaut face aux manifestants qui protestaient contre les violences policières ont relancé le débat sur ce programme que Barack Obama avait fortement limité en 2015, mais que le président Donald Trump a relancé en 2017.
A Minneapolis, d'impressionnants véhicules blindés ont ainsi été déployés lorsque des émeutes ont éclaté fin mai après la mort de George Floyd sous le genou d'un policier blanc.
Ces ressources sont des armes de guerre et il faut désormais "arrêter de militariser les forces de l'ordre", indique un projet de loi sur la réforme de la police présenté cette semaine par près de 200 élus du Congrès, majoritairement démocrates.
500 millions d'équipement transférés en 2017
Depuis 1997, l'armée américaine a distribué à plus de 8.000 forces de polices, fédérale, tribales et locales, des équipements d'occasion ou neufs allant des armes de poing aux hélicoptères, en passant par les véhicules blindés conçus pour résister aux engins explosifs, pour une valeur totale de 6,8 milliards de dollars, précise ce texte.
Sur la seule année fiscale 2017, quelque 500 millions d'équipements militaires ont été transférés aux services de police du pays par l'intermédiaire du programme dit "1033", en référence à la section du budget de Défense 1997 qui l'a créé.
Police surarmée ?
Les dernières données de la direction logistique du Pentagone (DLA) montrent à quel point certains services de police ont profité des largesses du Pentagone, parfois dans des proportions pouvant être considérées comme exagérées au vu de leur population.
Dans le Montana, la police du comté de Flathead (90.000 habitants), surtout connu pour sa proximité avec le parc national de Glacier, a reçu en 2013 un véhicule blindé résistant aux mines, évalué à près de 700.000 dollars, un an après s'être équipée d'un premier véhicule de transport militaire.
La police de la petite ville d'Ada, dans l'Oklahoma, qui ne compte que 16.000 habitants, s'est équipée au fil des ans de 34 fusils d'assaut M-16 avant de recevoir un véhicule blindé anti-mines en juillet 2019. Elle compte huit policiers à temps plein et deux à temps partiel.
Dans un pays où la population est largement armée et où de nombreuses écoles ont été endeuillées par des fusillades ces dernières années, même les établissements scolaires profitent de la générosité du Pentagone. En Floride, les 47 écoles, collèges et lycées du Bay District, à Panama City, ont acquis en 2012 et 2013 pas moins de 27 fusils d'assaut et deux véhicules blindés résistant aux mines.
Le projet de loi des élus démocrates de la Chambre des représentants prévoit de limiter strictement les transferts d'explosifs, de grenades et de lance-grenades, ainsi que de ces véhicules blindés plus adaptés aux théâtres de guerre qu'au maintien de l'ordre.
Des sénateurs préparent eux aussi un texte de loi, sous la houlette d'un élu démocrate d'Hawaï, Brian Schatz, qui dénonce depuis plusieurs années le surarmement de la police américaine.
"Il est clair que de nombreux services de police s'équipent comme s'ils partaient à la guerre et ça ne marche pas pour maintenir l'ordre", a-t-il déclaré au New York Times. "Ce n'est pas parce que le ministère de la Défense a des armes en surplus qu'elles seront forcément bien utilisées".
L'épisode Michael Brown
Le sénateur Schatz et son collègue républicain Rand Paul avaient déjà tenté de présenter une loi similaire en 2014, après la publication des premières informations sur le "programme 1033", dans la foulée des émeutes raciales de Ferguson.
La mort d'un jeune Noir de 18 ans, Michael Brown, tué par balles par un policier blanc, avait provoqué dix jours de violentes émeutes entre la population noire et des forces de l'ordre de cette petite ville du Missouri, qui avaient fait usage de fusils d'assaut et de véhicules blindés venus du Pentagone.
De son côté, Donald Trump, accusé de vouloir politiser l'armée américaine, s'est tenu éloigné de toute controverse avec le Pentagone ce samedi lors de la cérémonie de remise de diplômes de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York.
Le président américain a choisi un ton solennel dans son discours, loin des accents martiaux adoptés face aux manifestations contre le racisme et les brutalités policières des dernières semaines, qui ont poussé les plus hauts responsables du Pentagone à se désolidariser publiquement de la parole présidentielle.
"L'armée a été en première ligne pour mettre fin à la terrible injustice de la ségrégation" lors de la lutte pour les droits civiques dans les années 1960, a-t-il affirmé, devant les 1.107 "cadets" (élèves officiers) assis sous le soleil en respectant une distanciation physique, pandémie de coronavirus oblige.
Donald Trump a fait une allusion aux grand mouvement de colère qui s'est emparé du pays depuis la mort fin mai d'un Afro-Américain, George Floyd, tué par policier blanc lors de son arrestation à Minneapolis. Il a remercié "les hommes et les femmes de la Garde nationale" qui ont été déployés pour "assurer la paix, la sécurité et l'Etat de droit constitutionnel dans nos rues". Cette force de réserve a notamment protégé l'enceinte de la Maison Blanche à Washington.
Après plusieurs manifestations violentes et des scènes de pillages dans plusieurs villes américaines, le président avait soulevé un tollé en menaçant de déployer l'armée pour restaurer "la loi et l'ordre". Le ministre de la Défense Mark Esper, lui-même diplômé de West Point, s'est opposé la semaine dernière à cette idée. "L'option d'utiliser les soldats d'active ne devrait être employée qu'en dernier ressort et dans les situations les plus urgentes et les plus dramatiques", a-t-il dit.
Jeudi, le chef d'état-major américain, le général Mark Milley, a regretté de s'être affiché en uniforme aux côtés du président après la dispersion brutale de manifestants près de la Maison Blanche. "Je n'aurais pas dû être là", a-t-il dit, déplorant avoir "donné l'impression que les militaires intervenaient dans la politique intérieure".
Autre divergence avec le président, les deux responsables du Pentagone ont fait savoir qu'ils étaient favorables à l'idée de rebaptiser les bases militaires américaines portant le nom de généraux confédérés de la Guerre de sécession, pro-esclavage. Une idée à laquelle Donald Trump s'est catégoriquement opposé.
Plus de "guerres sans fin"
Le milliardaire républicain, qui selon certains médias a envisagé un moment de limoger Mark Esper, a depuis voulu apaiser ses relations avec le Pentagone. "Le travail des soldats américains n'est pas de reconstruire des pays étrangers, mais de défendre avec force notre nation contre des ennemis étrangers", a-t-il souligné samedi.
Il a par ailleurs répété sa volonté de mettre un terme "à l'ère des guerres sans fin", en allusion notamment au plan de retrait de l'armée américaine d'Afghanistan.
Donald Trump, qui n'a jamais fait son service militaire, s'est souvent adressé aux militaires lors de ses voyages à l'étranger et n'a pas hésité à faire applaudir les soldats lors de remarques au ton polémique, les faisant par exemple huer les journalistes qui couvraient un événement, mettant en évidence le soutien d'une partie des militaires américains à ses vues.
Avant son discours, d'anciens diplômés de l'académie de West Point, qui a formé de nombreux responsables militaires et gouvernementaux américains, ont mis en garde dans une lettre ouverte les jeunes cadets contre toute "obéissance aveugle" aux ordres, rappelant les dangers posés par les "tyrans".
"La politisation des forces armées fragilise le lien entre l'armée et la société américaine", rappellent ces 400 anciens élèves de toutes générations qui disent avoir servi à eux tous dix administrations américaines. "Si ce lien était rompu, les dégâts pour notre pays seraient incalculables".
Donald Trump avait annoncé dès avril qu'il participerait à la remise des diplômes de l'académie, située à une centaine de kilomètres au nord de New York, épicentre américain de la pandémie de Covid-19. Les organisateurs ont dû modifier le cérémonial pour respecter le plus possible les consignes de sécurité sanitaire face au coronavirus.
Les cadets sortaient ainsi de deux semaines de quarantaine et sont arrivés à la cérémonie en portant un masque, sans leurs familles, qui n'ont exceptionnellement pas été invitées cette année.
Les images de policiers en tenue de combat et armés de fusils d'assaut face aux manifestants qui protestaient contre les violences policières ont relancé le débat sur ce programme que Barack Obama avait fortement limité en 2015, mais que le président Donald Trump a relancé en 2017.
A Minneapolis, d'impressionnants véhicules blindés ont ainsi été déployés lorsque des émeutes ont éclaté fin mai après la mort de George Floyd sous le genou d'un policier blanc.
Ces ressources sont des armes de guerre et il faut désormais "arrêter de militariser les forces de l'ordre", indique un projet de loi sur la réforme de la police présenté cette semaine par près de 200 élus du Congrès, majoritairement démocrates.
500 millions d'équipement transférés en 2017
Depuis 1997, l'armée américaine a distribué à plus de 8.000 forces de polices, fédérale, tribales et locales, des équipements d'occasion ou neufs allant des armes de poing aux hélicoptères, en passant par les véhicules blindés conçus pour résister aux engins explosifs, pour une valeur totale de 6,8 milliards de dollars, précise ce texte.
Sur la seule année fiscale 2017, quelque 500 millions d'équipements militaires ont été transférés aux services de police du pays par l'intermédiaire du programme dit "1033", en référence à la section du budget de Défense 1997 qui l'a créé.
Police surarmée ?
Les dernières données de la direction logistique du Pentagone (DLA) montrent à quel point certains services de police ont profité des largesses du Pentagone, parfois dans des proportions pouvant être considérées comme exagérées au vu de leur population.
Dans le Montana, la police du comté de Flathead (90.000 habitants), surtout connu pour sa proximité avec le parc national de Glacier, a reçu en 2013 un véhicule blindé résistant aux mines, évalué à près de 700.000 dollars, un an après s'être équipée d'un premier véhicule de transport militaire.
La police de la petite ville d'Ada, dans l'Oklahoma, qui ne compte que 16.000 habitants, s'est équipée au fil des ans de 34 fusils d'assaut M-16 avant de recevoir un véhicule blindé anti-mines en juillet 2019. Elle compte huit policiers à temps plein et deux à temps partiel.
Dans un pays où la population est largement armée et où de nombreuses écoles ont été endeuillées par des fusillades ces dernières années, même les établissements scolaires profitent de la générosité du Pentagone. En Floride, les 47 écoles, collèges et lycées du Bay District, à Panama City, ont acquis en 2012 et 2013 pas moins de 27 fusils d'assaut et deux véhicules blindés résistant aux mines.
Le projet de loi des élus démocrates de la Chambre des représentants prévoit de limiter strictement les transferts d'explosifs, de grenades et de lance-grenades, ainsi que de ces véhicules blindés plus adaptés aux théâtres de guerre qu'au maintien de l'ordre.
Des sénateurs préparent eux aussi un texte de loi, sous la houlette d'un élu démocrate d'Hawaï, Brian Schatz, qui dénonce depuis plusieurs années le surarmement de la police américaine.
"Il est clair que de nombreux services de police s'équipent comme s'ils partaient à la guerre et ça ne marche pas pour maintenir l'ordre", a-t-il déclaré au New York Times. "Ce n'est pas parce que le ministère de la Défense a des armes en surplus qu'elles seront forcément bien utilisées".
L'épisode Michael Brown
Le sénateur Schatz et son collègue républicain Rand Paul avaient déjà tenté de présenter une loi similaire en 2014, après la publication des premières informations sur le "programme 1033", dans la foulée des émeutes raciales de Ferguson.
La mort d'un jeune Noir de 18 ans, Michael Brown, tué par balles par un policier blanc, avait provoqué dix jours de violentes émeutes entre la population noire et des forces de l'ordre de cette petite ville du Missouri, qui avaient fait usage de fusils d'assaut et de véhicules blindés venus du Pentagone.
De son côté, Donald Trump, accusé de vouloir politiser l'armée américaine, s'est tenu éloigné de toute controverse avec le Pentagone ce samedi lors de la cérémonie de remise de diplômes de la prestigieuse académie militaire de West Point, près de New York.
Le président américain a choisi un ton solennel dans son discours, loin des accents martiaux adoptés face aux manifestations contre le racisme et les brutalités policières des dernières semaines, qui ont poussé les plus hauts responsables du Pentagone à se désolidariser publiquement de la parole présidentielle.
"L'armée a été en première ligne pour mettre fin à la terrible injustice de la ségrégation" lors de la lutte pour les droits civiques dans les années 1960, a-t-il affirmé, devant les 1.107 "cadets" (élèves officiers) assis sous le soleil en respectant une distanciation physique, pandémie de coronavirus oblige.
Donald Trump a fait une allusion aux grand mouvement de colère qui s'est emparé du pays depuis la mort fin mai d'un Afro-Américain, George Floyd, tué par policier blanc lors de son arrestation à Minneapolis. Il a remercié "les hommes et les femmes de la Garde nationale" qui ont été déployés pour "assurer la paix, la sécurité et l'Etat de droit constitutionnel dans nos rues". Cette force de réserve a notamment protégé l'enceinte de la Maison Blanche à Washington.
Après plusieurs manifestations violentes et des scènes de pillages dans plusieurs villes américaines, le président avait soulevé un tollé en menaçant de déployer l'armée pour restaurer "la loi et l'ordre". Le ministre de la Défense Mark Esper, lui-même diplômé de West Point, s'est opposé la semaine dernière à cette idée. "L'option d'utiliser les soldats d'active ne devrait être employée qu'en dernier ressort et dans les situations les plus urgentes et les plus dramatiques", a-t-il dit.
Jeudi, le chef d'état-major américain, le général Mark Milley, a regretté de s'être affiché en uniforme aux côtés du président après la dispersion brutale de manifestants près de la Maison Blanche. "Je n'aurais pas dû être là", a-t-il dit, déplorant avoir "donné l'impression que les militaires intervenaient dans la politique intérieure".
Autre divergence avec le président, les deux responsables du Pentagone ont fait savoir qu'ils étaient favorables à l'idée de rebaptiser les bases militaires américaines portant le nom de généraux confédérés de la Guerre de sécession, pro-esclavage. Une idée à laquelle Donald Trump s'est catégoriquement opposé.
Plus de "guerres sans fin"
Le milliardaire républicain, qui selon certains médias a envisagé un moment de limoger Mark Esper, a depuis voulu apaiser ses relations avec le Pentagone. "Le travail des soldats américains n'est pas de reconstruire des pays étrangers, mais de défendre avec force notre nation contre des ennemis étrangers", a-t-il souligné samedi.
Il a par ailleurs répété sa volonté de mettre un terme "à l'ère des guerres sans fin", en allusion notamment au plan de retrait de l'armée américaine d'Afghanistan.
Donald Trump, qui n'a jamais fait son service militaire, s'est souvent adressé aux militaires lors de ses voyages à l'étranger et n'a pas hésité à faire applaudir les soldats lors de remarques au ton polémique, les faisant par exemple huer les journalistes qui couvraient un événement, mettant en évidence le soutien d'une partie des militaires américains à ses vues.
Avant son discours, d'anciens diplômés de l'académie de West Point, qui a formé de nombreux responsables militaires et gouvernementaux américains, ont mis en garde dans une lettre ouverte les jeunes cadets contre toute "obéissance aveugle" aux ordres, rappelant les dangers posés par les "tyrans".
"La politisation des forces armées fragilise le lien entre l'armée et la société américaine", rappellent ces 400 anciens élèves de toutes générations qui disent avoir servi à eux tous dix administrations américaines. "Si ce lien était rompu, les dégâts pour notre pays seraient incalculables".
Donald Trump avait annoncé dès avril qu'il participerait à la remise des diplômes de l'académie, située à une centaine de kilomètres au nord de New York, épicentre américain de la pandémie de Covid-19. Les organisateurs ont dû modifier le cérémonial pour respecter le plus possible les consignes de sécurité sanitaire face au coronavirus.
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